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Après une étape à Puerto Varas et 13 heures de bus plus tard, nous retrouvons Santiago, son soleil et sa chaleur.Quelques photos de ces trois jours !
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Los Plebes del Rancho de Ariel Camacho - La Junta Partis sous une fine bruine, ambiance forêt tropicale, nous gagnerons sous un grand soleil notre prochain lieu de villégiature, le camping vista hermosa !La rando pour y accéder est superbe. On y longe des cours d’eau, on les traverse en empruntant des ponts ou des tyroliennes et on patauge aussi dans la boue !L’eau est limpide. On posera notre tente près de la rivière, on y est bien et il y règne une bonne ambiance.Le lendemain, on se lance dans une belle rando pour atteindre l’ « Anfiteatro ». Pas facile mais ça en valait vraiment la peine. Le...
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Cochamó est un tout petit village à deux heures de Puerto Montt, tout proche de la frontière argentine. La raison principale de notre venue ici est la vallée de La Junta, où nous espérons passer deux jours.A Cochamó nous logerons chez Gladys. Sacrée petite bonne femme qui tient un supermarché, une quincaillerie, une auberge et des cabanes ! Elle connait tout le monde ici, beaucoup sont d’ailleurs de sa famille ! Il nous faut à présent trouver un endroit pour séjourner dans la vallée de la Junta. Car sans réservation dans l’un des campings ou refuges, pas d’entrée possible. Le principe est étrange...
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Nous voilà donc à nouveau sur le ferry direction Quéllon ! Dès notre arrivée, nous achèterons deux places de bus pour Puerto Montt le lendemain. Pas question de se faire avoir ! Nous voilà donc, enfin, à Puerto Montt; La ville grouille de monde. Ca fait longtemps que nous n’avions pas été dans une « vraie » ville.On se trouve une petite auberge chez une mamie toute gentille, parfait. Petite balade dans la ville et bon restau le soir. On est d’attaque pour rejoindre Cochamó le lendemain.
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Que c’est rageant !! Le temps ne s’améliore pas… les auberges se font assaillir, la ville est saturée. Aucun bus ne part, ni pour le nord, ni pour l’est, ni pour le sud. Clairement la ville n’a pas les infrastructures pour accueillir autant de monde. Même le gymnase est saturé. On comprend à présent mieux pourquoi il avait été ouvert ! On fera vite le tour ce cette petite bourgade qui, en 2008, a été ensevelie sous les cendres du volcan du même nom et se reconstruit aujourd’hui lentement.Bien que les señoras tenant notre auberge aient été très sympathiques et tous sourires, leur maisonnette sentait...
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23h30, le ferry amarre à Chaiten. Notre objectif : rejoindre le terminal de bus pour y attendre le premier bus en partance pour Puerto Montt, ultime ville de la carretera austral.Un vague de backpackers semble aussi s’y dirigeait. Une fois arrivés au terminal, on apprend que, plutôt que le terminal de bus, le gymnase de la ville serait disponible pour y passer la nuit. Bon pourquoi pas, on suit les chiliens. Effectivement, le gymnase est ouvert et accueille tous ceux qui voudraient bien y passer la nuit ! Etrange ! ça dort, ça cuisine, ça papote. On dirait un refuge pour les déshérités de catastrophes...
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Allez c’est parti pour une première traversée de près de 20h pour rejoindre Quellon… Ah il pleut ! Le ferry a plus d’une heure de retard… tout le monde l’attend avec impatience ! Traversée tantôt calme, tantôt houleuse. Le ferry fait escale dans des villes improbables. Le temps est toujours très bas.A notre arrivée, on pose nos sacs dans la première auberge. Pas envie de chercher bien loin ce soir.Ce sera donc un petit hôtel miteux mais avec vue mer, enfin la salle commune. Dans l’attente du second ferry le lendemain, on se fera une courte visite de la ville, car ici il n’y a pas grand chose à...
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On nous avez prévenu, à Puerto Cisnes il n’y a pas grand chose à faire ! Effectivement, ce petit port au fond d’un fjord patagonien parait hors du temps.Nous y avons passé trois jours dans l’attente de l’arrivée du ferry. Et comme il a pas mal plu, on a bien profité de l’auberge !
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Il nous faudra cinq heures de bus pour rejoindre Puerto Puyuhuapi… La route est bien cabossée et en travaux. Dehors il pleut, et bien ! Les paysages sont beaux mais bien humides. Le coin est réputé pour être particulièrement pluvieux. Mais chose exceptionnelle, nous aurons ici un temps magnifique ! Le village n’est pas bien grand. Il n’était d’ailleurs qu’une « colonie » jusqu’en 1972 et compte aujourd’hui 550 âmes. Maisons allemandes, chilotes et en taule se côtoient. L’été forcément ça se remplit davantage. On y croise pas mal de backpackers. Eloignement oblige, ici tout est plutôt rare et cher....
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Cette fois, pour se rendre à notre prochaine destination on prend le bus. On s’est décidé au lever du lit. Pourtant, la pancarte était prête. Mais bon, beaucoup d’auto-stoppeurs, il fait froid et pas envie de passer la journée à attendre. Par contre, le truc avec les bus ici c’est qu’on ne peut jamais être certain de pouvoir y entrer ! Aucune résa possible, aucune certitude du nombre de places dispo. Tout est fonction du nombre de personnes qui descend à l’arrêt auquel tu veux monter.Donc, se pointer à 8h pour être les premiers arrivés, inscrire son nom sur une liste d’arrivée et attendre le bus...
